Venues d’Europe et d’Amérique du Sud, les informations concernant USF1 convergent vers une
seule et même conclusion : la mort d’USF1. En Argentine, la Voz
explique détenir l’exclusivité d’une révélation de Peter Windsor
(cofondateur d’USF1) au père de Jose Maria Lopez (le seul pilote
qu’USF1 ait embauché à ce jour) : le Britannique aurait avoué que son
écurie n’était pas en mesure d’assembler ses monoplaces à temps et
qu’elle devrait donc faire l’impasse sur les trois premiers Grand-Prix
de la saison (Bahreïn, Australie, Malaisie). Pire, Windsor aurait émis
les plus grands doutes sur la viabilité de son écurie et sur sa
capacité à se présenter sur la grille de départ d’un Grand-Prix cette
saison.
Les rumeurs catastrophiques ont pilonné USF1 depuis 6 mois. Jusqu’ici sans
autre dégât qu’une blessure d’amour propre. La nouveauté avec celle du
jour ? Elle est étayée : Chad Hurley, cofondateur de YouTube et
principal investisseur de l’écurie Américaine se serait lassé des
atermoiements de la formation de Charlotte et aurait décidé de retirer
ses deniers du défi Américain. Les caisses vides, USF1 a tiré la langue
pour payer ses employés le mois dernier. « Il serait idiot
de dire que tout est parfait, que nous sommes une nouvelle écurie qui
va être fabuleuse et gagner sa première course » tranche Windsor, « Nous
sommes deux gras qui veulent faire de la course, on ne prétend pas
qu’on va réinventer la roue. Nous voulons simplement prendre du plaisir
et faire partager à tout le monde les hauts et les bas de l’écurie. »
Le coup serait rude pour les deux fondateurs de l’écurie, Peter Windsor et Ken
Anderson. Les deux acolytes ont sollicité le gouvernement Argentin et
ont obtenu de lui plusieurs millions de dollars pour amener Lopez en
Formule Un. Mieux, ils ont posé sur la photo officielle d’enrôlement de
‘Pechito’ avec la présidente du pays, Cristina Fernandez. Les fonds
pourraient ne pas être perdus pour tout le monde. Lopez serait en effet
un candidat idéal pour Campos…
Source: automoto365.com